
La vie meilleure
Le choix de :
« Il n’y a pas de hasard » disait Émile Coué.
Émile c’était ce pharmacien de Troyes, qui a donné son nom à la célèbre méthode.
C’est aussi l’homme auquel s’est attaché Etienne Kern pour son deuxième roman.
Il parle dès la page 22 de la genèse de son livre :
« Dehors, la nuit soudain plus large. L’ordinateur, le halo bleu. Je tape : Emile Coué. Venu d’où ? De très loin. De ma peur. De mon amour. Du mensonge que j’avais besoin d’entendre ce soir-là: Tout va bien. »
Comme Etienne Kern, je crois que j’avais moi aussi besoin de ce mensonge-là. Croire que tout allait bien. Ne serait-ce qu’un instant, quelques heures, le temps d’une lecture.
Et c’est précisément ce que ce livre m’a offert.
J’ai rencontré un homme. Un homme surprenant et touchant. Un homme mais aussi sa femme, et son amour indéfectible. On croit lire une biographie et on se fait surprendre par un roman d’amour…
J’ai aussi découvert un regard empreint de tendresse et de douceur sincères. Une écriture « lumineuse ». L’adjectif a souvent été utilisé pour qualifier ce texte, et vraiment, je n’en trouve pas qui convienne mieux.
(S’) offrir ce livre est un cadeau rare : la promesse de quelques heures d’une vie meilleure…
Mais aussi l’irrésistible envie d’écouter John Lennon et de voir la neige tomber. Même en été. Surtout en été.
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